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DÉCIDONS ENSEMBLE!

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220702 Conférence des président-e-s d'AGILE.CH sur la contribution d'assistance © AGILE.CH/Mark Henley

Autres Assurances sociales

14.9.2023
Assurance perte de gain obligatoire en cas de maladie: le Conseil national comble une importante lacune dans le système de sécurité sociale 

LEn approuvant la motion du conseiller national centriste Marco Romano, la Suisse franchit un premier obstacle de taille vers une assurance obligatoire d’indemnités journalières en cas de maladie. Comme le souligne à juste titre l’auteur de la motion, l’absence d’une telle obligation constitue une lacune importante du système suisse de sécurité sociale. Les acteurs de la santé et du social soulignent cette lacune depuis des années – notamment dans le cadre du Rapport alternatif actualisé sur la mise en œuvre en Suisse de la Convention de l’ONU relative aux droits des personnes handicapées. Le rapport pointe le manque persistant d’assurance obligatoire d’indemnités journalières en cas de maladie dans un contexte où les personnes avec handicap sont exposées à un risque de pauvreté supérieur à la moyenne.

6.6.2023
Pas de réduction de l’allocation pour impotent pour les enfants dont les parents supportent eux-mêmes les coûts d’un séjour en home

Comme le Conseil national, le Conseil des États approuve une motion qui charge le Conseil fédéral de modifier les bases légales de manière à ce que les enfants avec handicap ne voient pas leur allocation pour impotent-e réduite lors de certaines nuits passées dans des structures d’accueil externes, si les parents paient eux-mêmes ces frais de séjours. AGILE.CH salue cette décision: elle soulage les parents, qui assument également eux-mêmes l’ensemble du reste des frais de soins et d’assistance, et peut contribuer à éviter l’entrée en institution et à maintenir l’activité professionnelle des parents.

13.9.2022
Hospitalisation d’enfants: l’allocation de prise en charge est simplifiée 

AGILE.CH salue la décision de ce jour du Conseil des États, par 31 voix contre 9 et 1 abstention, de faciliter le versement d’allocation de prise en charge lorsque les parents d’enfants hospitalisés doivent s’absenter de leur travail pour les accompagner. Une lacune de la récente modification du droit aux allocations pour perte de gain est ainsi comblée. AGILE.CH espère que le Conseil national ira dans le même sens.

29.4.2019

Avant la votation de novembre 2018 sur la surveillance des assurés, le Conseil fédéral a promis que les observations secrètes d’assurés seraient soumises à des dispositions strictes. AGILE.CH prend le Gouvernement au mot et exige que la loi soit appliquée sur la base de l‘ordonnance, telle qu’il l’a mise en consultation l’automne dernier.

13.3.2019

Délai de restitution de prestations indues prolongé de 1 à 3 ans, coûts des observations secrètes à charge des personnes qui en font l’objet, suppression de la gratuité des recours auprès des tribunaux cantonaux : sur simple soupçon d’une assurance, même infondé, tout le monde peut tomber dans la spirale infernale. 

14.10.2018

Les assurés soupçonnés de fraude ne devraient pas pouvoir être surveillés sans l'autorisation d'un juge. Le comité contre la nouvelle loi, en votation le 25 novembre, a dénoncé lundi une surveillance arbitraire et un chèque en blanc donnés aux assurances.

3.10.2018

Avec l'adoption de cet article de la Loi fédérale sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA), les assurances, c'est-à-dire les offices AI, les caisses d’assurance chômage, maladie et accident, pourront ordonner elles-mêmes la surveillance secrète de leurs assurés et ainsi filmer et enregistrer les personnes malades ou accidentées pendant une période allant jusqu’à un an : à l’extérieur lorsqu’elles font leurs achats, lorsqu’elles se rendent chez des amis, dans leur jardin ou même dans leur atelier, leur cuisine ou leur salon si ces pièces sont visibles depuis la rue. Des dispositifs de localisation pourront même être fixés à des voitures ou à d'autres véhicules, avec l’autorisation d’un juge.

L'article sur la surveillance, tel qu'il sera soumis au vote le 25 novembre, viole des principes élémentaires d'un État de droit comme le nôtre, fait fi de nos droits les plus fondamentaux et veut transposer une culture de méfiance en droit commun. L'article de loi peut être appliqué par toutes les assurances sociales et donc contre l'ensemble de la population. Chacun d'entre nous est placé sous une suspicion généralisée et court le risque d'être surveillé à son insu.

28.6.2018

Outre la lutte contre les abus, la réforme du Conseil fédéral vise à optimiser les assurances sociales soumises à la LPGA. Cependant, il n’exploite pas encore pleinement le potentiel de la loi.

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